Jean-Michel Othoniel imagine « L'Or de J'adore » ; une œuvre qui orchestre un dialogue entre l'artiste et l'icône du parfum Dior. Inspiré par les courbes de verre de l’amphore, il a imaginé une fleur-écrin pour accueillir le 1er parfum J’adore signé par Francis Kurkdjian. Empreinte de toute la magie des sculptures monumentales de Jean-Michel Othoniel, cette rose de bronze incarne avec brio la composition de Francis Kurkdjian, les perles de ses pétales dessinant une fleur hyperbolique. Réalisée selon la technique traditionnelle joaillière de la fonte à la cire perdue, elle est ensuite polie à la main avant d’être plongée dans un bain d’or. Posé dessus, presque en apesanteur sur cette fleur déployée, se tient le flacon de J'adore l'Or à la silhouette en 8 : l'artiste a habillé sa coiffe d'un or fluide qui enlace la perle et ondule en drapant les courbes de cristal du flacon. « L'Or de J'adore » par Jean-Michel Othoniel est édité en série limitée de 100 pièces numérotées, disponibles dans une sélection de boutiques Dior.
L'artiste
J’adore x Jean-Michel Othoniel
« Pour cette œuvre, j’ai observé attentivement la composition et l’architecture d’une rose, une fleur que j’aime tout particulièrement. Puis, j’ai fait serpenter les perles autour du flacon dans un mouvement de danse et d’énergie vitale. J’ai imaginé ensuite que l’or venait habiller l’amphore comme une étoffe précieuse tout en se posant sur la perle comme un pétale délicat. »Jean-Michel Othoniel
Le parfum
Une fleur-écrin pour accueillir le sillage floral de J’adore l’Or
L’Or de J’adore (2023) par Jean-Michel Othoniel orchestre un nouveau dialogue entre l’artiste et l’icône de la parfumerie Dior. Jean-Michel Othoniel a imaginé une fleur-écrin pour accueillir le sillage de J’adore l’Or, la première composition signée par Francis Kurkdjian pour la Maison.
Aérienne, la rose-écrin imaginée par Jean-Michel Othoniel est une merveilleuse œuvre d’art miniature signée et numérotée. Les perles de ce joyau de précision sont réalisées en bronze, selon la technique de la fonte à la cire perdue et polies à la main une à une, avant d’être plongées dans un bain d’or.